Clos Trimoulet
Une histoire de famille et de terroir
Réputation
Clos TRIMOULET
Des vignerons qui s’adaptent à leur terroir et savent en tirer le meilleur vin possible, grâce à l’anticipation, au sens d’observation et à leur grande expérience. Chaque année, ils essayent de tirer la quintessence du millésime, avec humilité, s’effaçant devant la Nature, qui reste reine.
“C’est quand on rentre du très bon raisin que l’on fait du très bon vin” !
“La matière première est primordiale, pour avoir de jolis raisins à vendanger, nous travaillons beaucoup au vignoble, mon frère Joël et moi, précise Alain Appollot.
Clos Trimoulet Grand Cru est un vin issu d’une dizaine d’hectares, régulièrement primé dans les différents concours internationaux. C’est un vin typé, de belle robe grenat, aux notes de framboise et de mûre, d’épices, de sous-bois, un vin riche, généreux, aux tanins puissants et soyeux, persistant en bouche et d’excellente évolution.
Le Château Chevalier Saint-Georges (Montagne Saint-Émilion) est produit sur une surface de 4 ha dans les communes de Montagne et de Saint-Georges. Ce joli terroir d’argile profonde donne au vin une belle structure, un bel équilibre, des arômesfruités, un réel potentiel de garde.
Notre terroir argilo-sablonneux est très diversifié, c’est un atout à l’assemblage, ainsi, nous profitons de la puissance des terres argileuses et de la finesse apportée par des terres sablonneuses. Cela donne un ensemble très harmonieux. Nous effectuons un élevage, terroir par terroir, avant l’assemblage. Les Grands Crus sont élevés, en fonction des millésimes, durant 12 à 14 mois en barriques de chêne français dont 1/3 de bois neuf. Notre élevage sous bois est conduit avec délicatesse pour ne pas masquer le vin, je suis contre les excès, nous privilégions une chauffe moyenne. Nous cherchons à conserver la typicité de l’appellation dans nos vins, nous restons respectueux de notre terroir et ne voulons pas produire des vins hors normes.
Finalement, nous sommes très traditionnels et cela se retrouve dans nos vins. Nos clients sont fidèles et apprécient nos vins, particuliers, cavistes, restaurateurs, et, à l’export, en Chine, au Japon, au Canada, en Europe du Nord.”
Clos Trimoulet
Une histoire de famille et de terroir
Propriété familiale depuis le milieu du XIXe siècle, le Château Béchereau est une exploitation viticole de 25 ha dont 9 ha en Bordeaux Supérieur, 10,5 ha en Montagne-Saint- Émilion et 5,50 ha en Lalande-de-Pomerol.
Voilà un magnifique Lalande-de-Pomerol Épiphanie 2018, une cuvée produite sans sulfites et sans aucun additif œnologique, sans levures exogènes, sans enzymes, sans barriques, sans aucun collage, fruit d’une vinification en respect total du fruit, sans aucun pompage, par une méthode de pigeage manuel avec un élevage en jarres de terre cuite... tout en couleur et en matière, au nez concentré, riche, tout en nuances aromatiques, ferme et soyeux, avec une bouche savoureuse.
Superbe Lalande-de-Pomerol 2018 cuvée Spéciale 2018, aux arômes persistants et subtils de petits fruits rouges mûrs à noyau, il est structuré, avec des taninssoyeux, c’est un vin à la fois charnu et distingué. Le Montagne Saint-Émilion 2016, charnu comme il se doit, a un nez intense, tout en complexité, très aromatique (fruits mûrs, sous-bois, épices...), quand cet autre Montagne Saint-Emilion CouleurMalbec, bien marqué par ses 82% de Malbec (le reste de Cabernet-Sauvignon et Merlot), mêlant structure et charme, aux notes de fruits noirs avec des nuances de poivre en bouche, est un vin dense. Quant au Bordeaux Supérieur cuvée Spéciale 2016, il est charnu et classique, tout en souplesse, alliant finesse et charpente, de bouche généreuse.
Un grand domaine de 118 ha (55 ha pour Lauduc), situés sur 8 communes bordelaises, sur des coteaux, à dominante argilo-calcaires et graveleux. Certification HVE (Haute Valeur Environnementale) depuis 2016, Terra Vitis depuis 2019 et commence la conversion en Bio sur une partie du domaine.
Excellent Bordeaux Supérieur cuvée Prestige 2016, 75% Merlot, 20% Cabernet-Sauvignon et 5% Cabernetfranc, de robe brillante et soutenue, aux senteurs de fruits rouges cuits, avec une bouche riche qui dévoile des tanins fondus mais bien présents, d’une belle longueur.
Très agréable Bordeauxblanc Classic 2018, médaille d’Argent est tout en finesse, aux arômesfloraux où l’on retrouve l’acacia, il est très séduisant, avec des nuances de pomme fraîche en bouche. Le Bordeaux rouge Classic 2017, médaille d’Or, où se mêlent la griotte et l’humus, c’est un vin classique, de très bonne charpente. Le Bordeaux rosé Classic 2018, est rafraîchissant, fruité, idéal à l’appéritif. Goûtez également le Bordeaux rouge L’invincible 2018 Sans soufre ajouté, pur Merlot, au nez complexe où dominent la groseille et l’humus, associant puissance et finesse, c’est un vin bien corsé, de bouche ample. Joli Bordeaux rosé cuvée Ephémère Rosé 2018, fin et fruité, d’une jolie persistance. Le BordeauxClairet Classic 2018, médaille d’Argent, est souple et frais, c’est un vin à découvrir avec des crevettes grises par exemple. Et enfin à ouvrir très facilement le joli Crémant de Bordeauxbrut.
Famille Grandeau Maison Grandeau Lauduc - 8, chemin de Lapeyre 33370 Tresses Téléphone :05 57 34 43 56 Email : contact@lauduc.fr Site personnel : www.lauduc.fr
Domaine de GRANDMAISON
Un domaine de 19 ha issu d’un terroir exceptionnel de graves siliceuses et d’argiles graveleuses parsemées de moellons calcaires (65% Sauvignon, 15% Sauvignongris et 20% Sémillon pour les vinsblancs; 60% Merlot, 30% Cabernet-Sauvignon et 10% Cabernetfranc pour les vins rouges). Vendanges manuelles, élevage du blanc 30% en barriques neuves pendant 6 mois sur lies fines et 70% en cuves sur lies également; le rouge : vin de goutte 80% de la récolte en barriques pendant 12 mois et vin de presse 20%. Le vin produit sur le domaine se caractérise par une expression minérale autant en rouge qu'en blanc reflétant le type de solargilo-calcaire. La vigne est présente depuis longtemps au Domaine de Grandmaison : dès le XVIIIe siècle, Monsieur de Belleyme, Ingénieur cartographe du Roi Louis XV, mentionne notre crû alors appelé Barreyre. Au fur et à mesure des époques, la production de vin s’est parfois interrompue, (à cause du gel, du phylloxéra), et a parfois fait place à la polycultureGrandmaison a aussi fait office de maison de campagne. François Bouquier, qui avait dû quitter son Cantal natal au début du vingtième siècle, y fit quelquefois les vendanges et acquit le domaine en 1939, quand il sut qu’il était à vendre. Puis, à partir de 1970, Jean (son fils) et son épouse Françoise reconstituèrent le vignoble et entreprirent la construction de l’actuel cuvier. Grandmaison entrait alors à nouveau en production. Depuis 1988, c’est François (leur fils) qui vinifie et avec son épouse Mayi, tous deux se consacrent à la propriété familiale depuis 1993.
“Nous présentons à la vente en 2020, les Pessac-Léognan rouge 2015 et 2016, et en blanc les Pessac-Léognan2018 puis 2019, nous précise François Bouquier.
Pour nous, les vendanges 2019 ont bénéficié d’un climat très favorable, elles ont commencé le 9 Septembre pour se terminer le 6 Octobre, état sanitaire parfait, excellente récolte quantitative en rouge, un peu moins en blanc.
Le 2019 est un vin charnu, riche, complexe, des degrés alcooliques importants, expressif, bien équilibré aussi bien en blanc qu’en rouge, il ressemblerait d’après nous, au 2009 mais avec moins d’opulence.”
Fidèle à lui-même, ce Pessac-Léognan rouge 2016 est une réussite, développant des tanins mûrs, un vin savoureux, charmeur, à la fois riche et souple, très équilibré, au bouquet intense avec des notes de sous-bois, de groseille et de cerise mûre, de bouche ample.
Beau 2015, où la structure prédomine, au nez puissant avec des notes de mûre et d’humus, bien charnu comme il se doit, de très bonne charpente, aux taninsharmonieux, un vin distingué, ample, de bouche pleine. Le 2014, au nez de violette et de sous-bois, tout en couleur, avec en bouche ces notes intenses de fruits rouges surmûris, aux tanins amples mais bien fondus, il est très harmonieux.
Superbe Pessac-Léognan blanc 2018, riche, très floral, très parfumé, d’une longue finale, avec des nuances de pamplemousse et de pain grillé. Remarquable 2016, gras, dense, ample, aux nuances de pomme et de fruitssecs, de bouche suave, mêlant finesse et persistance. Le 2015, au nez délicat, aux connotations d’agrumes et de fleurs blanches, est tout en élégance.
Ces propriétaires sympathiques couvent leur petit vignoble de 6 ha planté sur croupes et plateau de structure argilo-calcaire et dont les vignes ont 35 ans. Les cépagesMerlot (65%), Cabernetfranc (25%) et Cabernet-Sauvignon (10%) sont associés à ce terroirargilo-calcaire et à des soins minutieux (effeuillage, raisins triés avant égrappage, macérations longues, élevage en barriques, dont 1/3 est renouvelé chaque année...).
On est toujours au sommet avec leur superbe Puisseguin-Saint-Émilion 2016, un vin chaleureux, dense, de bouche distinguée, très bien corsé et équilibré, parfumé (griotte, humus...), qui allie concentration aromatique, finesse des tanins et structure au palais, avec une délicieuse finale poivrée.
Le 2015, charnu et gras, au nez complexe et subtil à la fois, dominé par la griotte macérée, avec ces notes persistantes de fumé, de cerise mûre et de poivre au palais, aux tanins amples, un vin complet, de garde, également.
Goûtez leur Moulin Saint-Clair 2016, parfumé, de bouche corsée, avec des notes de sous-bois et de cerise mûre, de bouche ample et fondue, un vin charmeur, qui s’accorde parfaitement avec des cailles grillées ou des spaghettis à la bolognaise.
❤❤❤❤❤ Au sommet, incontestablement, et cela vient récompenser un formidable rapport qualité-prix-plaisir. En effet, ce cru, marqué par la ?patte? et la passion d?Henri Duboscq, renvoie à un jardin d?enfants un bon nombre de crus surbarriqués et beaucoup plus chers. Il faut dire qu?Henri, secondé par ses fils Bruno et Hugues, est particulièrement chaleureux et sait de quoi il parle quand on aborde le sujet de l?élevage en barriques ou du terroir.
Un vignoble de 66 ha, complanté à 50% de Cabernet-Sauvignon, 40% de Merlot, 5% de Cabernetfranc et 5% de Petit Verdot. L?âge moyen des vignes est de 30 ans. Les vendanges sont manuelles avec recherche de surmaturité. Les vins sont élevés en barriques neuves pour chaque millésime, mais avec une maîtrise exceptionnelle pour choisir l?origine du bois et ne pas ?abrutir? le vin, avec les essences à grain fin adaptées à son cru. Il faut dire qu?une expérience de quelque cinquante années, cela aide...
Henri Duboscq nous explique ?qu?en 2019 tout s?est bien passé. Depuis 4 ou 5 ans, je ne sais pas si c?est dû au réchauffement climatique mais nous faisons des millésimes extraordinaires ! Juillet et Août ont été superbes, les vendanges se sont déroulées sous un été indien, les fermentations malolactiques se terminent en barriques neuves. Le 2019 se profile déjà, on remarque déjà la belle structure et les tanins bien fondus.
Le 2017 présente une entrée en bouche suave avec un prolongement sur une fine sucrosité gourmande, la finale est très persistante, beaucoup de noblesse et de distinction dans ce 2017. L?élevage a été déterminant pour ne pas nuire à tant de raffinement, j?ai utilisé 80% de barriques neuves au lieu de 100%. J?ai préféré des barriques de chêne à petite chauffe, à grains fins, pour ne pas masquer la délicatesse du vin.
Le 2018 est très enthousiasmant, un nez explosif de fruits rouges affriolants, en entrée de bouche des saveurs gourmandes et onctueuses avec tout de même une structure présente, belle finale persistante un rien rigoureuse. L?élevage s?est fait en barriques de chêne à chauffe un peu plus accentuée. Après le 2016, on peut croire avec ce 2018, en la répétition de l?exceptionnel.
Mes deux fils s?investissent de plus en plus dans l?élevage des vins.?
Formidable verticale sur place, des derniers millésimes à l?extravagant 1970.
On ne présente plus cette référence du bordelais, un incontournable, le Saint-Estèphe 2018, archétype de ce que doit être un grand vin typé de Bordeaux, concentré, de robe foncée, avec beaucoup de structure, au nez complexe où prédominent le cassis, la groseille et le cuir, charpenté et gras, de bouche puissante dominée par les fruitscuits à noyau et les sous-bois, de grande garde. Toujours remarquable 2017, charmeur et racé, très séduisant, mêle concentration aromatique et souplesse, un vin aux senteurs de griotte mûre, coloré, de bouche soyeuse et persistante avec ces nuances de fumé́ caractéristiques, toujours très fin.
Vous allez exciter vos papilles, avec ce 2016, dense et corsé, aux notes fruitées, épicées, avec une belle concentration représentative du millésime, un vin charnu et structuré, de couleurpourpre, riche en arômes, où dominent en bouche les fruits rouges frais et une note poivrée, un vin qui mérite un peu de patience. Le 2015, de couleur grenat intense, bien charnu comme nous les aimons, aux notes de pruneau, est un vin marqué par son équilibre et son harmonie, qui associe puissance et distinction, de garde, naturellement. Le 2014 sent les petits fruitscuits, mêlant puissance, typicité et souplesse, de robe grenat soutenu, très aromatique en bouche, aux tanins très équilibrés. Le 2013, bien corsé et savoureux, aux tanins riches, souples, est bien équilibrés, au nez intense (mûre, groseille, épices...), en bouche très parfumée, avec des notes de cerise mûre et de truffe, fondue et intense. Superbe 2012, ?chatoyant?, dit Henri Duboscq, d?une puissance en bouche, un grand vin, charmeur, très parfumé (griotte, humus...), mêlant exubérance au palais et finessetannique avec une très jolie finale grillée, le style parfait de Haut-Marbuzet dans sa jeunesse.
Le 2011 est plus ?Saint-Estèphe?, avec une belle structure, dense et persistant, bien corsé, qui sent bon la framboise, la prune et l?humus, d?excellente bouche. Très grand 2010, qui dégage un très beau nez intense, des tanins bien présents mais enrobés, un vin très équilibré, dense au palais, où dominent la fraise des bois mûre et le poivre, mêlant structure et charnu, de grande garde.
Le 2009 est splendide : de la finesse, de la complexité, de l?amplitude, un très grand vin où s?entremêlent la fraise des bois mûre, la griotte et l?humus, un vin corsé et gras, aux tanins bien présents et fondus à la fois, un millésime déjà très séducteur mais de grande évolution. On poursuit avec ce 2007, classique du millésime, ample, très parfumé, tout en souplesse, aux connotations de fruits, de cannelle et d?humus en bouche, c?est un vin parfait, notamment, avec un rôti de veau en croûte ou des magrets de canard aux champignons. Le 2006 semble se refermer, très typé par ce terroir de Saint-Estèphe, d?une complexité certaine, avec des nuances de myrtille et de grillé, de bouche puissante. Le 2005 se goûte très bien, dense, souple, structuré, au bouquet subtil et intense à la fois, un vin qui développe des arômes séduisants de cassis et de sous-bois, puissant. Le 2004 est exceptionnel, très parfumé, complexe, aux nuances de fruits noirs macérés, de cuir et d?épices, de bouche charnue mais distinguée. Le 2002 est dans lignée, un beau vin ample, riche au nez comme aux papilles, avec ces notes de mûre et d?humus, aux tanins savoureux, coloré et dense.
Somptueux 2001, à la fois très souple et dense, d?une grande ampleur, développant un nez envoûtant où les fruitscuits côtoient le poivre rose et le musc, d?une longue finale, idéal sur une cassolette de ris et rognons de veau à la moutarde ou un simple tournedos grillé. On s?oriente ensuite vers ce qui fait la force d?un grand vin, sa capacité d?évolution, en faisant un ?saut? vers ce 1990, d?une grande longueur, au nez comme en bouche, avec ce côté légèrement ?rancio? qui lui va parfaitement, aux taninsgénéreux, avec cette bouche bien charnue, ample et séduisante. Le 1989 est plus ?chaud?, dominée par les fruits à noyau et la cannelle, un vin que l?on appréciera sur un foie gras aux figues, par exemple. Le 1987 parvient à maturité, il est à son apogée.
Le 1986 est superbe, robe rouge teintée cerise noire, de bouche très équilibrée, au nez où se devinent les fruits mûrs, l?humus et les épices (cannelle, poivre), opulent, mêlant charpente et distinction, un très grand vin parfait avec un veau en cocotte aux épices ou une pastilla de pigeon. Le 1982 ne fait pas son âge, mêlant densité et harmonie, où dominent la réglisse et les épices, de bouche intense, vraiment remarquable. Le 1978 est très classique, et du millésime et de son terroir, où se décèlent des connotations de de fruits à noyau et de fumé, tout en bouche comme le 1975, surprenant par sa vivacité, sa couleur, son ampleur, comme ce grand 1970, lui aussi, d?une bouche dense, subtilement parfumée (champignons, cuir), avec des tanins raffinés, il emplit le palais. Voir également le MédocChâteau Layauga-Duboscq.
Henri, Hugues et Bruno Duboscq
❤❤❤❤❤ Leur Château Trotte Vieille est au sommet, naturellement. On fait remonter l'origine de son nom à une vieille dame qui habitait cette maison il y a plusieurs centaines d'années. La légende veut qu'à proximité du Château, au croisement de ses routes se trouvait un arrêt de diligence, et chaque fois qu'un attelage s'arrêtait, la vieille dame descendait en trottinant pour aller aux nouvelles d'où le nom Trotte Vieille. Le Second Vinfût créé en 2002, sous le nom de La Vieille Dame de Trotte Vieille. Un vieux parchemin en Gascon datant du XVe siècle atteste déjà de l'utilisation de ce nom. Fait exceptionnel, il existe encore une pièce de vigne datant d'avant le phylloxera.
Superbe Saint-Émilion 1er GCC 2017, 50% Merlot, 45% Cabernetfranc, 5% Cabernet-Sauvignon, d?un beau rouge profond, dense, riche en arômes comme en charpente, aux tanins fins, qui associe structure et distinction.
Formidable 2016, généreux, avec ces nuances de fruits compotés, c?est un vin aux taninssoyeux et riches, charnu, qui associe puissance et distinction. Le 2015, mêle finesse et richesse aromatique, une bouche suave et veloutée, très parfumée (fruits rouges surmûris, cannelle), un vin riche en couleur comme en charpente, d?une belle finale où l?on retrouve des nuances de prune macérée et de cuir. Le 2014 dégage un nez persistant où dominent des notes de griotte, de musc et d?épices (cannelle, poivre), aux tanins très équilibrés un grand vin de fort belle expression, de bouche puissante.
Le 2013 développe un nez subtil où dominent le cuir et la griotte, d?une très jolie concentration en bouche, aux taninssoyeux, légèrement épicé comme il se doit en finale.
Superbe 2012, volumineux, un vin riche et structuré, au nez épicé dominé par des senteurs de framboise, de poivre, de musc, alliant une charpente réelle à une belle rondeur en bouche. Très beau 2011, avec une belle matière, un vin qui allie charpente et finesse, avec des senteurs de cuir et d?épices, aux taninssoyeux, où dominent les fruits mûrs et les sous-bois au palais, de bouche flatteuse et riche à la fois, savoureux avec des gésiers de volailles ou un sauté d'oie aux champignons de Paris. Exceptionnel 2010, riche en couleur, au nez complexe de fruits rouges à noyau et de fumé, aux tanins présents auxquels il faut donner le temps de se fondre. Dans la lignée, ce très beau 2009, avec des tanins mûrs et fermes à la fois, qui se révèle complexe au nez comme en bouche, dominé par les fruits macérés et l?humus, ample et flatteur, de belle garde.
Famille Castéja
❤❤❤❤❤ Une exploitation familiale de 8 ha de sol graveleux (66% Cabernet-Sauvignon et 34% Merlot noir, 8 à 12 mois en fûts de chêne).
Excellent Médoc 2017, il est intense et coloré, aux arômes de cassis, de cannelle et de poivre, corsé, ample, avec des tanins très structurés, un vin riche en arômes, de fort belle évolution.
Le 2016, de robepourpre soutenu, aux notes subtiles et intenses d?humus et de petits fruits noirs surmûris, de bouche structurée, c?est un vin ample, charpenté.
Excellent 2015, dense et charnu comme il se doit, aux tanins savoureux, tout en nuances avec des notes de griotte, de musc et de cuir, qui poursuit son évolution.
Christine et Jean-François Gillet
21, chemin du Centre
33590 Jau-Dignac-et-Loirac
Tél. : 05 56 09 48 97 et 06 77 87 41 73 Email : lesgravesdeloirac.chateau@wanadoo.fr